les pas d'un anciens qui fut et qui est.

La poussière, omniprésente. Cette planète jadis belle, cette planète avec cette brise calme, et son soleil doux, cette planète était pleine de poussière. Son ciel était plus que gris, et depuis plus d'un millénaire aucune plante ne vivait ici-bas ; la mort d'une planète faite pour adorer une illusion.
L'empereur regarda ces alentours, avec une combinaison, car l’atmosphère n'était guère respirable, et la mort imprégnait chacune de ses molécules.
Cela faisait un long temps que Vaati voulait poser ses pieds sur cette roche, d'aucuns sait que cependant les coordonnées ce perdurent dans les méandres des ages et du temps qui passe.
Le maître d'Uran explora, seul, la citadelle, pendant grand temps, puis, il s'en fut, non sans avant dire : « Ces terres qui furent ne sont plus, car plus on est grand mieux on meurt, et ces terres qui étaient là ne sont que l'ombre des terres qui sont là aujourd'hui et qui étaient là avant. »